Vice-présidente et stratégiste en chef, placements
RBC Phillips, Hager & North Services-conseils en placements inc.
Tasneem Azim-Khan est vice-présidente et stratégiste en chef, placements.À ce titre, elle travaille en étroite collaboration avec l’équipe de direction et est responsable de l’orientation stratégique de notre plateforme de placement, de la mise en œuvre de nouvelles solutions dans l’ensemble de l’entreprise, des communications et formations connexes, de la gestion du risque portefeuille et des initiatives technologiques qui offriront plus de valeur aux clients et aux employés.
Mme Azim-Khan possède plus de 15 ans d’expérience dans l’analyse d’actions et la gestion de portefeuille. Arrivée au bureau Actions américaines, Services-conseils en gestion de portefeuille (SCGP), RBC Gestion de patrimoine – Canada en 2013, elle a été promue l’an dernier au poste de cheffe d’équipe de ce bureau, assumant de nouvelles responsabilités liées au lancement de nouveaux produits et à la surveillance des nouveaux produits à l’intention des conseillers. De plus, Mme Azim-Khan siège à plusieurs comités de placements, notamment ceux de la Liste des actions américaines vedettes et de la Liste des actions nord-américaines vedettes.
Avant de se joindre au bureau SCGP, Mme Azim-Khan a été analyste en recherche sur actions à UBS Valeurs Mobilières Canada Inc., où elle assurait la couverture du secteur canadien des produits industriels et des transports. Elle est titulaire d’un baccalauréat (avec distinction) en économie de la London School of Economics and Political Science et d’une maîtrise en administration des affaires de la Richard Ivey School of Business. De plus, elle détient le titre d’analyste financier agréé (CFA).
Tasneem Azim-Khan partage ses réflexions sur les politiques qui pourraient être adoptées par la future administration Trump, et ce que cela pourrait signifier pour les investisseurs.
Nous faisons le point sur la course à la Maison-Blanche et présentons nos réflexions sur l’incidence que le programme en matière d’imposition et de dépenses de chaque candidat aurait sur l’endettement des États-Unis et l’orientation de la politique de la Réserve fédérale (Fed) à moyen et à long terme.
Les nerfs des investisseurs en période électorale sont compréhensibles, mais les réactions instinctives dans les portefeuilles dues à de tels nerfs sont injustifiées, écrit Tasneem Azim-Khan.