Éléments à prendre en considération lors de la création d’une fondation de bienfaisance.
Vous avez certainement déjà appuyé des causes caritatives d’une façon ou d’une autre. Avez-vous déjà considéré une stratégie philanthropique plus officielle ? Vous pourriez en profiter pour éduquer et impliquer la prochaine génération.
Dans ce cas, votre famille pourrait être intéressée à mettre en place une fondation de bienfaisance. Celle-ci pourrait être soit publique, soit privée, selon vos besoins.
Les deux options vous permettent d’y contribuer et de recevoir des reçus pour fins d’impôts. Les deux vous permettent également d’accepter des dons monétaires, des dons de titres inscrits en bourse et de fonds mutuels avantageux au plan fiscal — ainsi que des assurances-vie.
Le capital de votre fondation sera investi selon une approche équilibrée et les dons seront accordés annuellement à des organismes de bienfaisance auxquels s’intéresse votre famille.
Dans le cas d’une fondation publique, ou d’un « fonds orienté par le donateur », toute l’administration et la production de rapports seront prises en charge, laissant aussi l’option de demeurer anonyme. Les fondations privées, elles, nécessitent que vous soyez responsable de l’administration du fonds et de la production de rapports annuels au public.
Si vous cherchez à vous impliquer activement dans les activités philanthropiques, une fondation privée pourrait être indiquée.
Si vous recherchez principalement les avantages fiscaux et l’héritage que vous permet une fondation de bienfaisance — avec moins d’administration — considérez plutôt une fondation publique.